Commune littorale, au sud du pays Bigouden, Plobannalec-Lesconil est idéalement située. Proche de la Torche, de la ville commerçante de Pont-L’Abbé et des magnifiques sites naturels du pays Bigouden, notre commune est au cœur de la côte sud. Blottie dans un écrin de verdure et baignée par la mer, il fait bon vivre à Plobannalec-Lesconil. La douceur du climat, son petit port de pêche de Lesconil, ses plages et ses nombreuses animations en font une destination incontournable ! Venez y jeter l’ancre pour vos vacances ou pour de plus longues escales…On vous attend ! On vous y accueille avec plaisir !
De nos jours, nous sommes nombreux à nous promener sur les « gwenojennoù » (petits chemins étroits) de la Commune et à rencontrer de jolis noms de lieux en breton sans toutefois tous les comprendre. Cette étude aidera les non-bretonnants à une meilleure compréhension de ceux-ci. Elle aidera également les bretonnants à en reconnaître certains que l’évolution a rendu difficiles à identifier. C’est un vrai trésor et nous espérons que vous aurez plaisir à le découvrir.
Nous tenons à remercier les élus qui en 2009 ont commandé cette étude, nous souhaitons également remercier Albert Stéphan, Jeanne Signor, Visant Le Floc’h et Corentin Draoulec qui furent consultés à l’époque et enfin remercier l’Office Public de la Langue Bretonne pour ce travail remarquable.
Kalz ac’hanomp a vez o pourmen, bremañ, war « gwenojennoù » ar Gumun hag o welet anvioù-lec’h brezhonek brav met ne gomprenont ket an holl anezho. Gant ar studiadenn-mañ e vo sikouret an dud na ouzont ket brezhoneg da gompren anezho gwelloc’h. Sikour a raio ar vrezhonegerien ivez da gompren lod anezho hag a zo diaes da anavezout abalamour m’int cheñchet a-hed an amzer. Ur gwir deñzor eo ar studiadenn-mañ hag emichañs e vioc’h laouen o lenn anezhi.
C’hoant hon eus da drugarekaat an dilennidi o doa goulennet ar studiadenn e 2009, c’hoant hon eus ivez da drugarekaat Albert Stefan, Jeanne Signor, Visant ar Floc’h ha Corentin Draouleg a oa bet goulennet traoù diganto en amzer-se ha da drugarekaat, erfin,Ofis Publik ar Brezhoneg evit al labour dibar-se.
Le premier édifice a été construit aux alentours du XIIIème – Vème siècle. A la fin du XIXème siècle, la dégradation du bâtiment mais aussi l’augmentation spectaculaire de la population de la commune ont amené à la réalisation d’un nouvel édifice plus adapté. Les travaux ont duré 15 ans, grâce aux comptes de la fabrique, il est possible de retracer les différentes étapes de sa construction :
- 1876 : édification du gros œuvre
- 1879 : réalisation du pavage (ciment), élévation de la flèche (consacrée le 11 Juin)
- 1883 : création de la tribune pour sonner les cloches et mise en place des cloches
- 1889 : réalisation de la voûte
Pour l’anecdote, selon un contemporain de la construction, les cloches auraient la plus belle sonnerie de tout le Pays Bigouden.
Plusieurs grands noms ont été associés à la construction de l’édifice dont Joseph Bigot, architecte diocésain qui a réalisé les plans des flèches de la cathédrale de Quimper, Le Naour, spécialiste de la taille de la pierre, l’entrepreneur Martineau et le recteur Rolland qui fut enterré près du porche Nord.
Les vitraux ont été réalisés durant l’entre-deux-guerres, du temps du chanoine Jézégou qui était le recteur de l’époque. Ils sont l’œuvre de Lavergne de Malakoff à l’exception du vitrail dédié aux morts de la première guerre mondiale, située dans le transept Sud qui a été réalisé par le maître- verrier Dagrand de Bordeaux vers 1925.
Une très grande partie du mobilier que l’on trouve aujourd’hui dans l’église provient du premier édifice.
Visite en 360
La création de l’église de Lesconil au début du XXème siècle est liée à la volonté d’implanter la religion catholique dans la commune à tendance protestante. C’est à l’initiative du recteur de Plobannalec de l’époque, M. Guillou, qu’une chapelle est construite en 1902 à partir des plans du chanoine Abgrall. A l’origine elle porte le vocable de Sainte Anne.
Les vitraux ont été réalisés par les ateliers Fournier, Gesta et Le Bihan Saluden. Parmi ces vitraux, on peut remarquer une scène de l’enfance de la Vierge Marie à Lesconil ainsi qu’une scène de tempête apaisée au large de Penmarc’h. La reprise de scènes religieuses dans l’environnement local transcrit une volonté d’appropriation de la religion à l’échelle locale.
Suite un à don de 30 000 francs, de la part de l’Amirale de la Jonchère, la paroisse de Lesconil est créée et la chapelle Sainte Anne devient l’église Notre-Dame-de-la-Mer (aussi connue sous le nom de Notre-Dame-des-Flots).
Le premier recteur à s’y installer est Jean-Baptiste Le Mel. Sa mission, que beaucoup jugeront impossible, est d’implanter la religion catholique au sein de la population de cette toute nouvelle paroisse. Il devra se confronter d’un côté à un apostolat protestant et de l’autre à une tendance communiste fortement implantée dans cette commune portuaire.
Toutefois, il ne sera pas long à se faire une notoriété au sein de la population. Avec des méthodes directes et intransigeantes, il mènera un combat contre les « ennemis de la foi » (instituteurs communistes, athées, protestants). Son mode de vie ascétique forcera aussi l’admiration de tous. Le presbytère dans lequel il réside ne possède aucun confort et ses repas se résument à de la bouillie de pommes de terre.
Il décède le 16 Avril 1935 à l’âge de 58 ans après avoir construit deux écoles. Sa tombe se trouve derrière l’église de Lesconil au niveau du chevet.
Installée dans un encrin de verdure, cette chapelle a été édifiée aux alentours du XVème siècle – début XVIème siècle. Il s’agissait à l’origine d’une église paroissiale mais lors de la création des communes durant Révolution, la paroisse a été partagée entre Lesconil et Plobannalec et l’église est devenue une chapelle dédiée à Saint Brieuc.
Plonivel était une paroisse primitive, créée durant l’arrivée des Bretons en Armorique au Vème siècle, dont le nom était Ploerimael (1368). Le vocable « ploe » (ou « plo ») signifie « paroisse » et « rimael » est une déformation du nom de Brimael, devenu Brioc en Vieux Breton. C’est pourquoi la chapelle est dédiée au Saint fondateur de la paroisse, Saint Brieuc. Son pardon se célèbre le premier dimanche de Mai.
Le mobilier ancien de la chapelle (XVIème siècle – XVIIIème siècle) ainsi que le style breton du gothique flamboyant en fait une chapelle de charme à visiter.
Réhabilité depuis 2015 en lieu dédié aux associations, à la culture et aux arts, cette ancienne église évangélique a accueilli la plus importante communauté protestante du littoral cornouaillais au début du XXe siècle. Inaugurée en 1912, sa construction et son histoire sont étroitement liées à un pasteur gallois du nom de William Jenkyn Jones. Ce dernier arrive en Bretagne au début des années 1880 avec la volonté d’évangéliser les populations bretonnantes. Après un apprentissage du français et du breton, il se lance à la conquête de fidèles dans les petites communes entourant Quimper.
Face à la misère des ports du sud Finistère, Jenkyn Jones consacre ses efforts sur les populations maritimes du pays Bigouden. En effet, à la fin du XIXe siècle, les ports bigoudens voient leur population rapidement augmenter en raison de l’émergence des conserveries provoquant un exode rural. Nombreux sont ceux connaissant d’importantes difficultés sanitaires, économiques et sociales.
Le succès du protestantisme sur le littoral s’explique aussi par un encadrement catholique moindre, les recteurs n’ayant pas forcément accompagné les déplacements de populations vers la frange côtière. Les gens de mer, politiquement de gauche et anticléricaux, se reconnaissent une sensibilité dans le discours protestant défendant le retour à un christianisme originel basé sur les Évangiles.
Jones fait de son cheval de bataille la lutte contre l’alcoolisme, source selon lui de tous les maux. Doté d’une incroyable force de persuasion et soutenu par les femmes, les conversions se multiplient jusqu’à atteindre en 1913 une communauté de plus de 100 personnes. Dès 1910, la salle de conférence ouverte en 1894 se fait trop petite. Le pasteur cherche des financements au Pays de Galle où il réunit la somme de 450 livres permettant la construction d’un temple.
La nouvelle église réformée reprend les traits de l’architecture des temples gallois et se fait baptiser Béthel, (nom d’une localité proche de Jérusalem où Jésus aurait été vu la première fois après sa résurrection) dénomination commune à toutes les églises évangéliques accueillant les peuples de marins dans le monde. Sobriété et dépouillement, à l’intérieur comme à l’extérieur, sont les mots d’ordre. Après la Première Guerre Mondiale, le succès de la Mission évangélique s’essouffle. Dès lors, et malgré un bref regain dans les années 1930, la communauté ne cesse de perdre des fidèles, conduisant à une cession du bâtiment à la commune en 2007.
Son histoire
Dès 1427 le site de Kerhoas situé au fond du Ster de Lesconil est indiqué comme appartenant à la famille du Haffond de Kerescant, les puissants seigneurs du lieu qui ont ensuite émigré à Treffiagat. En1480, ce manoir défensif archétype du manoir médiéval cornouaillais, remplissait à la fois la fonction de demeure seigneuriale et de domaine agricole.
En 1785, il est vendu à la famille d’Alain de Tréverret, ancien Sénéchal de Quimper et de Rennes. C’est un riche bourgeois. Sa veuve rachète le manoir qui échappe, de ce fait,à la vente des biens nationaux.
Le manoir est ensuite racheté en 1807 par un riche bourgeois, Jean Baptiste Huart qui deviendra maire de Pont l’Abbé. En 1879 son petit-fils, l’archéologue Paul du Chatellier en hérite. La famille Morvan, domanier depuis 1861, succède à la famille du Chatelier, et achète le fond de Kerhoas en 1927 et devient ainsi propriétaire entier de Kerhoas; après un siècle de présence, le bien est revendu en 1989, à l’actuelle propriétaire Colette Aymer de La Chevalerie
Durant ces périodes (18ème – 19ème siècles). Kerhoas est régi selon le principe du domaine congéable reposant sur l’existence de deux propriétaires : le propriétaire foncier qui possède le fonds et le domanier à qui appartient tout ce qui a été bâti au-dessus du sol (bâtiments, talus et même arbre jusqu’à un certain degré de croissance. Le propriétaire foncier reçoit une rente foncière de leurs domaniers, une sorte de loyer pour les terres exploitées. Les domaniers sont formés, la plupart du temps, de familles aisées, comme les Calvez au XVIIIème siècle ou les Morvan aux XIXème et XXème siècles.
Kerhoas n’était plus en 1927 que des bâtiments utilisés uniquement pour les besoins et l’usage de l’exploitation agricole et traités comme tels, le manoir inconfortable ayant cessé d’être habité depuis les années 1970 …
A noter que les restes du chemin historique remontant à l’époque romaine (disparu du cadastre dans les années 1980) et menant à la chapelle de Plonivel, également du quinzième siècle ,ont pu être acquis permettant de comprendre la relation entre ces deux lieux liés par l’histoire et inscrits dans la mémoire collective locale, en particulier depuis le choix de Per Jakez Helias et Claude Chabrol d’y tourner en 1980 plusieurs scènes intimistes et emblématiques de la vie de la paysannerie bigoudène à la fin du 19eme siècle (scènes du mariage, de l’écurie du cheval, de la fabrication des crêpes, des battages ….)
Son architecture
C’est la description du site Mérimée du Ministère de la culture qui l’explicite : exemple de l’architecture manoriale du 15ème siècle il comporte plusieurs corps de bâtiments disposés en U autour d’une cour jadis fermée.
Les bâtiments tels qu’ils se présentent actuellement ont pratiquement conservé les dispositions décrites dans un acte notarié de 1753. La construction est l’œuvre d’une famille de la noblesse rurale, son architecture est modeste mais soignée en particulier le rez-de-chaussée du Manoir.
La dépendance à l’est à double porche et munie de meurtrières était un entrepôt domanial, pour le blé en particulier les bateaux pouvant à l’époque accéder par le bras de mer à l’arrière des bâtiments fortifiés donnant sur le Ster et surveilles depuis une étonnante fenêtre à meneau de la pièce de garde.
La porte d’entrée du logis est une porte en anse de panier, surmontée d’une accolade avec fleurons au sommet et entourée de pinacles sur les côtés et larmier au-dessus. Le manoir possède des fenêtres à meneaux, des acrotères sur les rampants du toit, une tour d’escalier à vis à l’arrière et des meurtrières sur le pignon ouest de la maison d’habitation permettant ainsi de mieux surveiller l’arrivée de tout assaillant éventuel.
La fontaine et le four à pain ont été restaurés dès 1990 pour permettre la fabrication du pain lors de la fête des vieux métiers organisée durant 25 ans par la FNACA ; ils se situent à l’avant du manoir.
Aujourd’hui
Dès 1990, d’importants travaux de sauvetage (arche de la grange et ceinture de béton armé pour le manoir entre autres ont permis de sauver les bâtiments d’une ruine programmée.
C’est ce qui a conduit le Ministère de la culture, via la Direction régionale des affaires culturelles de Bretagne, à proposer à la propriétaire une protection administrative définitive avec l’inscription de la totalité du site bâti à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques ISMH (Arrêté du 23 décembre 1992).
Reboisé par l’actuelle propriétaire, Kerhoas est un lieu accessible en extérieur en permanence ouvert sur le paysage et l’environnement du Ster avec un biotope où se retrouvent en particulier plusieurs espèces d’oiseaux et insectes. Un lavoir a également été remis en état au pied de la fontaine.
Le manoir de Kerhoas est actuellement une halte officielle et permanente du Comité de la randonnée pédestre du Finistère. Il dispose de tables de pique-nique en bois installées à l’ombre pour une pause champêtre au bord du Ster.
Le rez-de-chaussée du Manoir et les parties restaurées des bâtiments sont visitables chaque été depuis 1991, pendant 40 jours consécutifs, ainsi que pour les Journées Européennes du Patrimoine (avec une animation artistique). Kerhoas accueille également sur demande la vie associative locale, les scolaires et les groupes.
Le manoir que l’on peut observer aujourd’hui a été construit entre 1896 et 1898 par le Comte Arthur Janvier de la Motte, originaire de Drain dans le Maine-et-Loire. Il fait suite à un précédent manoir, appelé Kerulut constuit au XVIIème siècle qui appartenait à Jean-Marie Geslin, seigneur de Penanrun, enseigne de vaisseau du Roi.
Le maître d’œuvre du manoir est M. Emile Ducrest de Villeneuve qui demeurait au château de Porzmoro à Pont l’Abbé. C’est un ancien officier de la cavalerie qui s’est fait remarqué par une brillante conduite lors du siège de Paris à la bataille de Buzenval en 1870. Il a été aidé par l’entreprise Maubras de Pont-l’Abbé. La construction de l’édifice a coûté au total 60 000 francs-or. Le nom du manoir de Kerulut change aussi pour s’appeler Kerlut.
Un litige a opposé le maître d’œuvre du manoir au vitrier à propos de la réalisation des vitraux. Le maître d’œuvre souhaitait que les vitraux de l’oratoire soient dédiés à Saint Arthur, le roi Arthur, héros de la chanson de gestes. Or, s’agissant d’une œuvre littéraire, il est très difficile de savoir si elle relate la réalité et si Arthur était un saint. Le manoir s’est transmis de génération en génération jusqu’en 1938 où ses héritiers, Monsieur et Madame de Négraval l’ont vendu à un Irlandais, Ambroise Martin. Il a ensuite été vendu en 1956 à Monsieur Marcel Draoulec, commerçant de Lesconil et père de Corentin Draoulec (dit « Tintin »), une des mémoires vivantes de la commune.
C’est au XVIIIème siècle qu’un premier poste de garde fut construit sur la plus haute dune de la Palue, en face de la pointe du Goudoul. Le premier sémaphore a été mis en service en 1806 mais la construction du sémaphore actuel remonte à 1860. Le sémaphore assurait la surveillance des côtes de Penmarc’h à Loctudy, les sauveteurs qui étaient témoins des nombreux naufrages travaillaient en collaboration avec le canot de sauvetage du port. Ils donnaient l’alerte à l’aide d’un petit canon à alarme et utilisaient un canon lance-amarre afin d’établir un va-et-vient entre le bateau naufragé et la terre.
L’autre rôle du sémaphore était de signaler aux marins les grandes lignes de la météo. Pour ce faire, les guetteurs hissaient des cônes noirs en haut du grand mât qui étaient appelées « pochoù an amzer fall » (les poches du mauvais temps). En 1920, le sémaphore est la première et la seule infrastructure de la commune à recevoir le télégramme et le téléphone, lui donnant un rôle d’importance capitale au sein de la population lesconiloise. Cependant, une dizaine d’année plus tard, la ligne téléphonique sera supprimée. Un grand amer est érigé en 1930 à quelques pas du sémaphore, permettant aux navires de calculer leur vitesse.
Durant la Seconde Guerre Mondiale, le sémaphore est occupé par l’armée allemande, son activité s’arrêtera peu après la fin de la guerre. Il sera loué par la Marine Nationale à l’amiral Max Douguet, peintre de la marine, qui y viendra chaque été. Au décès de l’amiral en 1989, le sémaphore sera mis en vente.
En 1998, le Conseil Municipal fait valoir son droit de préemption et acquiert le sémaphore, selon le souhait des habitants de la commune. Une souscription volontaire a même été lancée et a permis de récolter 38 000 francs (soit presque 5800€). Des aménagements ont été réalisés afin de transformer le sémaphore en Office du Tourisme, il servira aussi a accueillir des expositions temporaires. Un jardin paysagé ainsi qu’une aire de jeux pour enfants a été aménagé autour du sémaphore.
Aujourd’hui, le sémaphore est utilisé comme salle de réunion pour les associations de la commune.
En cours de rédaction.
Le dieu Janus, constitué de deux visages opposés, était à Rome le dieu des Portes, et gardait l’entrée des villes grâce à sa double face. Son temple ne restait ouvert qu’en période de guerre, afin qu’il puisse secourir les romains.
Les sculpteurs de Janus, deux membres de l’atelier d’art plastique de Lesconil (dont le Lesconilois Mr Hubert), dirigés par le président M. Stanzioni, ont vu en Janus un symbole de la commune, l’une de ses faces regardant vers Lesconil, l’autre vers Plobannalec.
D’après eux, Janus met en évidence le lien entre les deux pôles de la commune. Il semble en effet veiller à la fois sur la partie terrestre de la commune, Plobannalec, et sur la partie maritime, Lesconil.
Créée dans les années 80 à l’atelier d’art plastique de Lesconil, la statue de Janus a été offerte à la mairie en remerciement aux bons services qu’elle avait rendu à l’atelier d’art (prêts de locaux, d’ateliers…).
Il était d’abord prévu qu’elle soit installée à La Roche à l’entrée de Lesconil, mais elle a finalement trouvé sa place au carrefour de Saint-Alour. Seules les œuvres des vandales ont su l’en déloger, à plusieurs reprises, pour nettoyage.

Située à proximité des rochers du Goudoul, la croix des Amoureux (texte à compléter)
En cours de rédaction.
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